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MALIBRAN
MALIBRAN
La Grande Duchesse de Gerolstein - Offenbach 2CD
Ref: MR803
Lafaye, Dachary, Giraudeau, Marcel Cariven 1957
15,83 €
HT (TVA à 20%)
Christiane Castelli
Ref: MR804
01 Rameau : Platée
02 Mozart : Les Noces de Figaro (Douce image évanouie)
03 Verdi : Ballo in maschera (Ecco l'orrido campo)
04 Verdi : Ballo in maschera (Morro ma prima in grazia)
05 Gounod : Faust (scène de la prison)
06 Boris Godounov (Silence ! La belle vous est reconnaissante)
07 Chabrier : Le Roi malgré lui (Oui, je vous hais) avec Willy Clément
08 Chabrier : Le Roi malgré lui (Il est parti) avec Janine Micheau
09 Chabrier : Une Education manquée (Mon enfant, ton vieux grand-père)
10 Chabrier : Une Education manquée (Lorsque le ciel se couvre)
11 Chabrier : Briséis (Là-bas, dans les cités d'Asie) avec Rémy Corazza
12 Leoncavallo : Paillasse (Ses yeux lançaient des flammes) - dir : Georges Tzipine 55
13 Puccini : La Bohême (D'un pas léger)
14 Puccini : Tosca (D'art et d'amour)
15 Strauss : Le Feu de la Saint-Jean (Brûlante nuit)
16 Petit : La Maréchale Sans-Gêne (Je suis si triste)
17 Yvain/Willemetz : Mon homme
11,25 €
HT (TVA à 20%)
Griselidis-La Navarraise 2 CD
Ref: MR813
Jules Massenet
GRISELIDIS
Geneviève MOIZAN (Grisélidis)
Janine COLLARD (Fiamina)
Nadine SAUTEREAU (Bertrade)
Jean MOLLIEN (Alain)
Michel ROUX (Le Diable)
Claude GENTY (Le Marquis)
Jean-Pierre LAFFAGE (Le Prieur)
Lucien LOVANO (Gondebaud)
Gustave CLOËZ
1959
LA NAVARRAISE
Geneviève MOIZAN (Anita)
Alain VANZO (Araquil)
Jacques MARS (Garrido)
Lucien LOVANO (Remigio)
Joseph PEYRON (Ramon)
Marcel VIGNERON (Bustamente)
Michel MARTIN (Un Soldat)
Jean-Claude HARTEMANN
1963
15,83 €
HT (TVA à 20%)
Geneviève de Paris -Mirouze 2 CD
Ref: MR807
Musique de Marcel MIROUZE, Livret de l'auteur avec Gabriel BOISSY
Geneviève : Janine MICHEAU Priscilla : Jane ROLLAND Attila: Pierre NOUGARO
Flavien: Lucien LOVANO Rikimer : Jacques BOUET Sedulius: Jean GIRAUDEAU
Sextius : Charles CAMBON Le Laboureur, Le Bossu, Le Mendiant : René LENOTY
Bérik: Louis NOGUERA Viorix : Joseph PEYRON
Trois femmes : Yvette Darras, Freda Betty, Germaine Dara
Trois hommes : Jean Clairville, Jacques Pruvost, Pierre Sauget
Solistes, orchestre Radio-Lyrique, churs de la Radiodiffusion Française
chef des churs : René ALIX, Maîtrise, chef des churs : Jacques JUINOT
sous la direction de l'Auteur, Marcel MIROUZE ORTF 22 janvier 1953
CONCERTO pour PIANO et ORCHESTRE
créé au Théâtre de La Fenice de Venise en 1956 par Mme Henriette Faure
Henriette FAURE (piano)
Orchestre de la Radio Suisse Italienne "Radio Svizzera Italiana"
Otmar NUSSIO circa 1957
15,83 €
HT (TVA à 20%)
Le Domino noir - Auber 2CD
Ref: MR655
Opéra Comique en trois actes
Livret dEugène Scribe
Musique de Daniel François Esprit Auber
Angèle dOlivares : Janine Micheau, Brigitte de San Lucar : Liliane Berton
Ursule : Freda Betti Horace de Massarena : Joseph Peyron
Gil Perez : Gilbert Moryn Comte Juliano : Gaston Rey
Lord Elfort : Bernard DemignyJacinthe : Germaine Parras
Chur et orchestre sous la direction de Jules Gressier
ACTE 1
Un bal masqué à la cour de la Reine dEspagne. Un jeune noble nommé Horace de Massarena est à la recherche dune ravissante personne quil a aperçue lors dun bal il y a un an. Il ignore que cette beauté masquée est Angèle dOlivarès, une cousine de la Reine, pour qui cette fête est donnée avant son départ vers le couvent dont elle sera labbesse. Angèle est accompagnée par Brigitte de San Lucar, elle aussi novice, mais qui na quune envie : quitter le couvent et se marier. Le comte Juliano cherche à aider son ami Horace en lui ménageant un rendez-vous avec Angèle. Il raconte à Brigitte quil est près de minuit alors quil est onze heures - et quelle doit sen aller au plus vite avant que la porte du couvent ne soit fermée. Brigitte partie, Horace aura donc une heure pour faire la cour à la belle inconnue. Malheureusement, lord Elfort, un diplomate anglais, crée un incident, croyant que la belle masquée était sa propre femme. Le temps passe et Angèle, qui a enlevé son masque, na plus le temps - les douze coups de minuit vont sonner- que de dire à Horace quelle nest pas mariée, quelle est riche et de haut rang, mais quelle détient un lourd secret et quelle doit senfuir pour préserver sa réputation.
ACTE 2
La porte du couvent est fermée. Dans la nuit, Angèle aperçoit une lumière dans une maison. Elle est chaudement accueillie par Jacinthe, la gouvernante du Comte Juliano, qui, pour ménager sa modestie, lui offre de la faire passer pour sa nièce. Sous son déguisement, elle plait beaucoup au Comte et à ses amis qui arrivent pour souper après le bal. Mais Horace la reconnaît et, tant pour linterroger que pour lui éviter les assiduités des joyeux convives, lenferme dans la chambre de Jacinthe. Survient Gil Pérez, vieil admirateur de Jacinthe, et, de son état, portier du couvent. Il découvre Angèle, qui a remis sa robe de bal et son domino noir, et lui remet les clés du couvent. Angèle senfuit.
ACTE 3
Nous sommes au parloir du couvent où lon apprend quUrsule est fort jalouse dAngèle et fait tout pour devenir abbesse à sa place. Grâce à son amie Brigitte, Angèle est rentrée sans encombre. Elle est sur le point daller prononcer ses vux lorsquelle reçoit une lettre de sa cousine la Reine linformant quUrsule sera la future abbesse et lui donnant lordre de quitter le couvent et de se marier. Et tout finira bien pour Horace et Angèle, pour Brigitte et Juliano, mais pas pour Lord Elfort qui, marié à une cousine dAngèle, pensait hériter par elle de la fortune dAngèle si celle-ci entrait dans les ordres.
Jean Ziegler
ACTE ONE
A masked ball in the Queens apartments. A young Spanish nobleman; Horace de Massarena is seeking a ravishing young lady he saw a year ago attending the same ball.
He does not know that this masked beauty is Angèle dOlivares, a cousin of the Queen, A novice nun who attends this second masked ball as a last venture into society before taking heer vows and be coming abbess of her convent. Angèle is there with a companion, Brigitte de Saint Lucar, also a novice but who only wants to leave the convent to marry. Count Juliano, Horacess boon companion, thinks to help his friend gain a rendez-vous with Angèle. He tells Brfrigitte it is almost midnight -in fact, it is only eleven- and that she has to leave immediately before the convent gate is loscked.
Brigitte leaves hastily, so Horace wll have one hour to court his belle inconnue. But alas !
Lord Elfort, an English diplomat, provokes an incident, thin king that the masked beauty was his wife..Time passes and Angele, who has removed her mask, hears the clock striking midnight, and while hurrying away, she can only say to Horace she is not married, she is rich and noble, but holds a heavy secret and must leave to preserve her reputation.
ACTE TWO
The convent gate is locked. In the dark of the night, Angèle sees a light in a house. She is warmly welcomed by Jacinthe, count Julianogoverness, who, to take care of her modesty, offers her to simulate that she is her niece. Under this disguise, she pleases very much the Count and his friends who arrive for dinner after the ball; But Horace recognises her and not only to secured her for further questioning but also to protect her from the attentions of the merry guests, he locks her in the room of Jacinthe. Then Jacinthe receives a visit of her old boyfriend Gil Perez, the porter of the convent. In the mean time Angèle has reassumed the black domino and the ball dress. At first a little frightened by this disguise, Gil Perez surrenders his keys of the convent, so Angèle can
escape.
ACTE THREE
We are in the convent parlour where we learn that another nun named Ursule is highly jealous of Angèle and exerts all her familys influence to become abbess herself. Thanks to her friend Brigitte, the absence of Angèle was not discovered. She is about to proceed to chapel to pronounce her vows when she receives a letter of the Queen, informing her that Ursule will be the future abbess, ordering her to leave the convent and to choose a husband. Everything get for the best for Angèle and Horace, for Brigitte and Juliano, but not for lord Elford, because he married a cousin of Angèle and thought that if she became a nun, his wife, thus himself, would inherit of Angèles fortune.
Texte et traduction de Jean ZIEGLER
15,83 €
HT (TVA à 20%)
Biographie et détails
La Damnation de Faust - 2CD
Ref: MR820
Légende dramatique
Paroles d'Hector Berlioz, Almire Gandonnière
D'après Gérard de Nerval
Faust : Guy Chauvet
Marguerite : Régine Crespin
Méphistophélès : Michel Roux
Brander : Peter van der Bilt
Orchestre et churs de la Radio Hollandaise
Direction : Jean Fournet
(Amsterdam : 23 mars 1963)
15,83 €
HT (TVA à 20%)
Don Carlos - Verdi 2CD
Ref: MR818
Version française
Vanzo, Bianco, Depraz, Lovano, Mars, Bonnet, Macaux,
Charles Brück Paris 1961
15,83 €
HT (TVA à 20%)
Liliane Berton
Ref: MR815
01 Glück : Orphée (Si les doux accords) Louis de Froment 1955
02 Mozart : Les Noces de Figaro (Sull aria) L.Gencer - S.Varviso (Glyndebourne 1963)
03 Mozart : Les Noces de Figaro (Viens, cher amant) - Jean Fournet 1964
04 Rossini : Le Barbier de Séville (Rien ne peut changer mon âme) Jules Gressier 1955
05 Massé : Les Noces de Jeannette (Au bord du chemin) Pierre Cruchon 1960
06 Adam : Si jétais roi (De vos nobles aïeux) Richard Blareau 1960
07 Meyerbeer : Dinorah (Ombre légère) Jules Gressier 1955
08 Gounod : Faust (Faites-lui mes aveux) André Cluytens 1958
09 Bizet : Les Pêcheurs de Perles (Me voilà seule dans la nuit) Jean Laforge 1958
10 Bizet : Le Docteur Miracle (Ne me grondez pas) Antonio de Almeida
11 Massenet : Werther (Frère, voyez!) Jules Gressier 1957
12 Poulenc:Dialogue des Carmélites (Encore ces maudites... ) D.Duval - P. Dervaux 1958
13 Milhaud : Bolivar (air de Manuela) Serge Baudo 1962
14 Menotti : Le Téléphone (Allo, Margaret, cest toi !) - Alain Lombard (Monte-Carlo 1960)
15 Audran : La Cigale et la Fourmi (Un jour Margot) Marcel Cariven 1955
16 Messager : Monsieur Beaucaire (Rossignol) Jean Laforge 1958
17 Messager : Véronique (Petite dinde) Jules Gressier 1952
18 Messager : Isoline (Je suis jolie) Jules Gressier 1955
19 Cuvillier : La Reine joyeuse (Ô la troublante... ) avec Robert Massard Roger Ellis 1955
20 Hahn : Ciboulette (Cest sa banlieue) Jean Laforge 1958
21 Youmans : No, no, Nanette (Non, non, Nanette) Paul Bonneau 1954
22 Schubert : Le Ciel est pur (Auf dem Wasser zu singen) Jean Laforge 1958
10,83 €
HT (TVA à 20%)
Fedora-Giordano
Ref: MR816
Gilda Dalla Rizza (sop) : La Principessa Fedora Romazoff
Antonio Melandri (ten) : Il Conte Loris Ipanoff
Emilio Ghirardini (bar) : Il Conte Giovanni de Siriex, diplomatico francese
Corrado Zambelli (bs) : Gretch, ufficiale di Polizia
Ebe Ticozzi (mz) : Dimitri, un ragazzo
Luba Mirella (sop) : La Contessa Olga Sukarev
Ernesto Dominici : Cirillo, cocchiere, Piero Girardi : Désiré, camariere & il Barone Rouvel, Blando Giusti : Boroff, medico & Nicola, staffiere, Eugenio Dall'Argine : Loreck, chirurgo, Antonio Alfieri : Sergio, staffiere, Z Chirarini : Michele, portinaio, Ida Mannarini (mz) : Un piccolo Savoiardo
Bernardo de Plaisant (piano solo dans le notturno, acte 2) : Boleslao Lazinski, pianista
Orch e Coro del Teatro alla Scala Milano dir Lorenzo MOLAJOLI (1931)
BONUS
09 Gemma Bellincioni:Fedora: O grandi occhi lucenti (CR) G&T (Atto 1°)
10 Enrico Caruso: Fedora: Amor ti vieta (CR) G&T (Atto 2°)
11 Titta Ruffo: Fedora: La donna russa Pathé (1904)
12 Amadeo Bassi Fedora: Amor ti vieta Pathé (1904)
13 Nora de Rosa Fedora: Ed ecco il suo ritratto ... O grandi occhi lucenti (Atto 1°) Cetra (1942)
14 Fernando de Lucia Fedora: Amor ti vieta (Atto 2°) G&T 52436, 2865 non transposé
15 Fernando de Lucia Fedora: Mia madre, la mia vecchia madre (Atto 2°) G&T 52077, 21531
16 Fernando de Lucia Fedora: Vedi, io piango (Atto 2°) G&T 52078, 21541
17 Bianca Lenzi Fedora: Dio di Giustizia Pathé 86235 AICC Milano 1912-13 (Atto 3°)
(grâce à l'amabilité de Monsieur Henri CHAMOUX http://www.phonobase.org/ )
18 Emma Carelli & Elvino Ventura Fedora: Tutto tramonta "Morte di Fedora" Fonotipia
19 Alessandro Bonci Fedora: Amor ti vieta Fonotipia 92103, XPh 2698 (1907)
20 Giannina Russ Fedora: O grandi occhi lucenti Fonotipia
21 G. Russ & Edoardo Garbin Fedora: Tutto tramonto ... tutto diligue "Morte di Fedora" Fonotipia
22 Giuseppe Anselmi Fedora: Amor ti vieta Fonotipia
23 Giacomo Rimini Fedora: Canzonetta russa (Atto 2°) Vocalion
24 Emile Scaramberg Fédora: Le ciel te livre à mon amour + orch Fonotipia (en français)
25 Galliano Masini Fedora: La fante mi svela Vedi, io piango (Atto 2°) Cetra
15,83 €
HT (TVA à 20%)
Wozzeck-Berg en français 2CD
Ref: MR819
Lucienne MAREE (Marie)
Irma KOLASSI (Margret)
Lucien LOVANO (Wozzeck)
Georges JOUATTE (Le Tambour-Major)
Joseph PEYRON (Le Capitaine)
André VESSIERES (Le Docteur)
Gaston REY (Andrès)
Maurice PRIGENT (Le Fou)
Bernard DEMIGNY (1er Manoeuvre)
Jean-Christophe BENOÎT (2e Manoeuvre)
dir : Jascha HORENSTEIN
(RTF 09/XI/50)
Stravinsky
MAVRA
Claudine VERNEUIL - Jeanne FARIA
Suzanne DARBANS - Joseph PEYRON
Maurice PRIGENT - Yvon LE MARC'HADOUR
Gaëtan AUZENEAU
RENARD
Joseph PEYRON - Yvon LE MARC'HADOUR
Maurice PRIGENT - Gaëtan AUZENEAU
Orchestre National de la RDF
Manuel ROSENTHAL
(Paris, 21/III/46)
15,83 €
HT (TVA à 20%)
Gérard Serkoyan
Ref: MR811
Gérard SERKOYAN
1 Mozart : Die Zauberflöte (In diesen heil'gen) - dir: Jean-Paul Kreder (1962)
2 Halévy : La Juive (Si la rigueur) - dir : Marcel Couraud (1962)
3 Rossini : Le Barbier de Séville (C'est d'abord rumeur légère) - dir: J.C. Hartemann (1967)
4 Berlioz : La Damnation de Faust (Chanson de la puce) - dir : Georges Derveaux (1961)
5 Berlioz : La Damnation de Faust (Voici des roses) - dir : Georges Derveaux (1961)
6 Berlioz : La Damnation de Faust (Sérénade) - dir : Georges Derveaux (1961)
7 Verdi : Rigoletto (Seigneur ) avec Gabriel Bacquier - dir: J.C. Hartemann (1961)
8 Verdi : Il Trovatore (Di due figli vivea padre beato)
9 Moussorgski: Boris Godounov (Pour terminer) - dir : P.M. Le Conte
10 Moussorgski: Boris Godounov (D'un noble moine) - dir : P.M. Le Conte
11 Thomas : Hamlet (Je t'implore, ô mon frère) - dir : P. Dervaux (1966)
12 Gounod : Mireille (Un père parle en père) - dir : R.P. Chouteau (1965)
13 Gounod : La Reine de Saba (Sous les pieds d'une femme)
14 Gounod : Philémon et Baucis (Eh quoi ? Parce que Mercure)
15 Gounod : Philémon et Baucis (Vénus même n'est pas plus belle)
16 Offenbach: Les Contes d'Hoffmann (Dans les rôles d'amoureux) - J. Etcheverry (1965)
17 Offenbach: Les Contes d'Hoffmann (Allez, pour te livrer combat)
18 Massenet : Thaïs (Voici le pain) - dir : Jésus Etcheverry (1961)
19 Stravinsky : Oedipus Rex (Dicere non possum) avec Léopold Simoneau - dir : Stravinsky (1952)
20 Bartok: Chant hongrois - piano : Valéry Souder (1962)
21 Bartok: Chant hongrois - piano : Valéry Souder (1962)
22 Bartok: Chant hongrois - piano : Valéry Souder (1962)
11,66 €
HT (TVA à 20%)
Berthe Monmart
Ref: MR810
1 Glück : Alceste (Divinités du Styx)
dir : Charles Brück 1963
2 Mozart : Idoménée (air d'Electre)
dir : Gustave Cloëz 1960
3 Beethoven : Fidélio (Infâme! Quels noirs desseins)
dir : Robert Benedetti 1958
4 Weber : Der Freischütz (Hélas, sans le revoir)
dir : Gustave Cloëz 1955
5 Weber : Obéron (Océan !)
dir : Robert Benedetti 1958
6 Berlioz : Béatrice et Bénédict (Il m'en souvient)
dir : Pierre-Michel Le Conte
7 Verdi: La Force du Destin (Pace mio Dio)
dir : Charles Brück 1963
8 Schumann : Geneviève (Pour Dieu qui règne sur le monde)
dir : Tony Aubin 1956
9 Lalo : Le Roi d'Ys (De tous côtés j'aperçois dans la plaine)
dir : Maurice Suzan 1967
10 Puccini: Madame Butterfly (Sur la mer calmée)
dir : Ferdinand Leitner 1961
11 Puccini: Manon Lescaut (Seule, perdue, abandonnée)
dir: Pierre-Michel Le Conte 1961
12 Mascagni: Cavalleria Rusticana (Vous le savez, ma mère)
avec Micheline Courtois - dir : Edgard Doneux 1957
13 Dukas: Ariane et Barbe-Bleue (Ah ce n'est pas encore la clarté)
dir: Tony Aubin 1967
14 d'Ollone: La Samaritaine (Il dit encore)
dir: Tony Aubin 1955
15 Charpentier : Louise (Depuis le jour)
dir : Marcel Cariven 1960
11,66 €
HT (TVA à 20%)
La Poupée - Edmond Audran 2CD
Ref: MR806
Audran
LA POUPEE
Geneviève PERNET (Alésia)
Blanche DELIMOGES (Mme Hilarius)
Linda FELDER (Josse)
Joseph PEYRON (Lancelot)
Willy CLEMENT (Révérend Père Maximin)
DUVALEIX (Hilarius)
René SMITH (La Chanterelle)
Paul VILLE (Loremois)
Pierre BORI (Frère Balthazar)
Jean VAVELET (Frère Basilic/Le Notaire)
Orchestre lyrique de la RTF
Robert BENEDETTI
(Paris 24/04/1955)
LA MASCOTTE (extraits)
Nadine RENAUX (Bettina)
Liliane BERTON (Fiametta)
Denise CHALLAN - Linda FELDER (2 Paysannes/2 Pages)
Michel DENS (Pippo)
Claude DEVOS (Fritellini)
DUVALEIX (Laurent XVII)
René HERENT (Rocco)
Jacques PRUVOST (Le Sergent Parafante)
Jules GRESSIER
(1953)
Disponible/Available 30 mars 2017
15,83 €
HT (TVA à 20%)
La Lépreuse - Sylvio Lazzari 2CD
Ref: MR802
C'est le 7 février 1911 que, pour la première fois, une oeuvre lyrique de M. Lazzari fut représentée à Paris,
sur le théâtre national de l'Opéra-Comique : La Lépreuse, tragédie légendaire de Henry Bataille.
Ceux qui ont assisté à la répétition générale ou ,à la première représentation, se souviendront
longtemps des acclamations de la salle entière à la fin de chaque acte et aussi des larmes
de pitié et d'admiration dont personne ne songeait à se défendre.
Jeanne Ségala (Aliette)
Solange Michel (Maria)
Suzanne Darbans (La Vieille Tilli)
Jean Giraudeau (Ervoanik)
Louis Noguéra (Matelinn)
Lucien Lovano (Le Sénéchal)
Georgette Spanellys - Andrée Gabriel
Jacqueline Cauchard - Raymonde Notti-Pagès
(Les Lavandières)
Gustave CLOËZ
(RTF 29/XI/57)
LA TOUR DE FEU
(extraits)
Micheline Grancher (Naïke)
Jean Mollien (Yves) - Jean Giraudeau(Don Jacinto)
Reynald Giovaninetti
(RTF 25/IX/63)
Disponible/Available 30 mars 2017
15,83 €
HT (TVA à 20%)
RIMSKY-KORSAKOV SNEGUROCHKA 2CD
Ref: MR626
MICHEL, LOVANO, MICHEAU, GORR, PEYRON , BETTI, MOIZAN, ROUX, GIRAUDEAU, COTTRET,HAMEL
Orchestre et Choeur: Direction : Charles BRUCK
(Paris, 10 juin 1955)
Récital Lucien LOVANO
15,83 €
HT (TVA à 20%)
Carmen Georges Thill chante Don José
Ref: CDRG149
Georges THILL
CARMEN
01 - Ouverture 3.18
02 - Duo José-Micaela "Parle-moi de ma mère " 7.58
03 - Séguedille " Près des remparts de Séville " Carmen -José 3.57
04 - "Je vais danser en votre honneur " Carmen -José 3.51
05 - "La fleur que tu m'avais jetée " José 3.57
06 - "Non, tu ne m'aimes pas " Carmen-José- Zuniga- Churs 7.19
07 - Prélude du 3° Acte 3.09
08 - Sextuor et Churs 3.36
09 -" Quant aux douaniers c'est notre affaire " Carmen -Frasquita-Mercédès-Churs 3.38
10 -" Je dis que rien ne m'épouvante " Micaela 3.42
11 -" Je suis Escamillo '' Escamillo-José 5.57
12 -Finale " Halte! Quelqu'un est là " Tous
13 - Duo final "C'est toi, c'est moi " carmen -José.
Uniquement en téléchargement-download
Version telechargement-dowload à 5.40,cliquez ici
L'Opéra-Comique N°1
Ref: CDRG129
Uniquement en téléchargement-download
L'OPERA COMIQUE
VOLUME 1
LOUISE / CHARPENTIER
01 - PRELUDE DE L'ACTE 2 GRAMO DA 4868 / 1934
02 - ACTE 1 "Depuis longtemps j'habitais..."CESAR VEZZANI, JEANNE GUYLA /
GRAMO DB 4970 / 1933
03 - ACTE 2 Scène 2: L'atelier / COLUMBIA RFX 49
04 - ACTE 3 " Depuis le jour" NINON VALLIN / Pathe X 90029
05 - ACTE 4 " Les pauvres gens..." LUCIEN VAN OBBERGH / POLYDOR 516733 / 1932
06 - ACTE 4 Berceuse/ VANNI-MARCOUX/ DB 4950 / 1931
07 - ACTE 4 Duo Final Louise-Le Père "L'enfant serait sage " Ninon VALLIN ET André PERNET
COL RFX 54
GRISELIDIS / MASSENET
08 - Prologue "Ouvrez-vous sur mon front" MIGUEL VILLABELLA / ODEON 188669 / 1928
09 - " Oiseau qui pars..." ROBERT COUZINOU POLYDOR 516 593 / 1928
10 - "Loin de sa femme..." LOUIS MORTURIER / GRAMO DA 4847 /
11 - "Il partit au printemps..." CHARLOTTE TIRARD POLYDOR 516646
12 - " Je suis l'oiseau..." MIGUEL VILLABELLA / ODEON 188669 / 1928
PELLEAS ET MELISANDE / DEBUSSY
13 - Acte 1 Genevieve " La lettre" GERMAINE CERNAY VSM
14 - Acte 2 "Ah ! Tout va bien.." VANNI-MARCOUX / GRAMO DA 902 / 1928
15 - Acte 3 " Mes longs cheveux..." IRENE JOACHIM , JACQUES JANSEN /
16 - Acte 3 " CHARLES PANZERA, YVONNE BROTHIER
17 - Acte 4 " Une grande innocence..." VANNI-MARCOUX / GRAMO DA 902 /
EPUISE
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La Danseuse de Tanagra - Les Hirondelles - Hirchmann 2CD
Ref: MR799
Hirchmann
LA DANSEUSE DE TANAGRA
livret de Paul Ferrier et Félicien Champsaur
(création : Opéra de Nice, 8 Février 1911)
Berthe MONMART (Messaline)
Nadine SAUTEREAU (Karysta)
Solange MICHEL (Géo)
Robert MASSARD (Cépéos)
Jean MOLLIEN (Silius)
Michel HAMEL (Manichus)
Lucien LOVANO (Jean)
Chur et Orchestre Radio-Lyrique
Chef des Churs : René ALLIX
Gustave CLOËZ (RTF 1956)
Maryse BEAUJON - La danseuse de Tanagra
12 Je dansais, oui, jadis (Columbia LF?29, Circa 1930)
13 Oui, près de toi LF 29, direction E.Bigot
Henri Hirchmann (sans le S attendu, Hirschmann,
15,83 €
HT (TVA à 20%)
lire la suite
The Lost art of the trill
Ref: AMR123
LE TRILLE, UN ART PERDU
Les amateurs dopéra dun certain âge auront toujours tendance à se lamenter (« On ne chante plus comme autrefois »), et ils auront toujours raison. Lart du chant évolue constamment. Maintenant que nous disposons dun siècle dhistoire de lenregistrement, nous sommes en position de juger comment les techniques et les styles se sont transformés au cours de cette période, et comment certaines compétences vocales ont été perdues ou retrouvées.
Lors de représentations récentes du Barbier de Séville à Paris, le ténor américain Lawrence Brownlee a fait preuve, dans les passages ornés, dune souplesse et dune vélocité que lon navait plus entendues depuis lépoque de Fernando de Lucia et de Hermann Jadlowker. Mais où étaient les trilles ?
Les compositeurs du XIXe siècle, de Verdi et Wagner jusquaux auteurs dopérettes et de musique légère, considéraient le trille comme un procédé expressif important, et sattendaient à ce que tous les chanteurs, du soprano léger à la basse profonde, soient capables den exécuter. Les trilles de Brünnhilde dans son cri de guerre et la scène de son réveil expriment un bonheur extatique, ceux de Hagen à lacte II du Crépuscule des dieux traduisent sa joie malveillante. Dans les représentations modernes, il est rare dobtenir mieux quun geste symbolique : lartiste indique quil sait quun trille est censé être là. Le Trouvère devrait être un régal pour le fétichiste du trille, avec des exemples nombreux pour trois des principaux protagonistes, mais qui sait encore aujourdhui que lair dentrée de la basse Ferrando en comprend, et que le «Stride la vampa» dAzucena est hérissé de trilles du début à la fin ? Pour cet air, il faut écouter Luise Willer, mezzo à lOpéra de Munich entre les deux-guerres : son Azucena a tout le charisme dune matrone bavaroise, mais elle fait ce qui est écrit et nous livre tous les trilles là où Verdi en a prévu.
Le simple volume nécessaire à se faire entendre par-dessus la lourde orchestration de Wagner et de ses disciples rendit difficile pour les chanteurs de conserver la souplesse vocale exigée par un bon trille. Mais cest avec larrivée du vérisme à la fin du XIXe siècle que le trille en vint à être considéré comme artificiel et anachronique. Puccini dans Manon Lescaut et Strauss dans Ariane à Naxos utilisent le trille comme une forme de couleur locale, pour évoquer latmosphère du XVIIIe siècle, précisément à cause de ses connotations archaïques et artificielles. A mesure que les attentes des compositeurs diminuaient en matière de trille, les compétences vocales déclinèrent également.
Si nous voulons entendre des trilles parfaitement maîtrisés et articulés, nettement émis et terminés, prolongés, enflés et diminués à volonté, nous devons remonter aux enregistrements des premières années du XXe siècle. La basse chantante Pol Plançon et le heldentenor Hermann Jadlowker nous offrent létalon-or en matière du trille masculin. Avec sa voix de stentor, Léonce Escalaïs nous stupéfie par le brillant et la clarté de son trille dans un air de Robert le Diable. Enrico Caruso nous surprend par la beauté de son bref trille dans « Ombra mai fu » de Haendel, même si la rareté avec laquelle il recourut au trille dans son large répertoire enregistré est peut-être aussi le signe du prestige déclinant du trille à lépoque du vérisme. Même les plus grands chanteurs avaient apparemment leurs jours de « mauvais trille ». Dans son interprétation par ailleurs superlative de lair « Ah si, ben mio » de Manrico, gravé en 1908, Caruso échoue sur son premier trille et, peut-être découragé, nessaye même pas démettre le deuxième. Le ténor, qui enregistrait souvent des prises alternatives, nestima évidemment pas la chose assez grave pour tenter de faire mieux. La version exactement contemporaine, due au ténor français Charles Dalmorès, est tout aussi mystérieuse. Dalmorès se contente la première fois dun passage proprement exécuté avant de nous offrir ce qui est peut-être le plus beau trille dans le genre. Bien que virtuose du trille, comme nous le savons, Léonce Escalaïs choisit de ne pas les chanter dans lair du Trouvère. Peut-être, au début du XXe siècle, une conception de plus en plus machiste du rôle de Manrico excluait-elle ce genre de raffinement vocal, dans lesprit de certains chanteurs.
Les sopranos germaniques Irene Abendroth, Margarethe Siems et Selma Kurz nous emmènent dans les terres les plus étranges de la virtuosité. Le célèbre « Kurz trill » (littéralement « trille court ») ressemble un peu à un numéro de cirque et irritait certaines collègues de Kurz par sa longueur excessive. Au disque, les trilles de Selma Kurz devraient être accompagnés dune mise en garde : dans lintérêt de sa santé, lauditeur ne doit pas retenir sa respiration. Patti âgée est un exemple de perfection plus limpide, et la spontanéité de Marcella Sembrich montre plus daisance. Ernestine Schumann-Heink et Dame Clara Butt, contraltos à la voix puissante, sont aussi stupéfiantes dans le Brindisi virevoltant de Lucrèce Borgia quun éléphant faisant des pirouettes en tutu. Dans lentre-deux-guerres, de nombreux artistes Ponselle, Rethberg, Leider, Lubin, Endrèze et Joseph Schmidt, entre autres étaient encore capables démettre un trille respectable. Sigrid Onegin et Gabrielle Ritter-Ciampi étaient exceptionnelles, car elles avaient gardé la virtuosité des chanteurs dune époque antérieure. Sans rien de voyant, les trilles dElisabeth Schumann ont un peu de léquilibre raffiné de Patti. Le trille qui est le point culminant de son quintette des Maîtres chanteurs na certainement jamais été égalé par la suite. Même sil ne sont pas aussi précisément déliés que ceux de ses prédécesseurs, David Devriès provoque encore un ravissement étonné avec la série montante de trilles quil interprète dans la « Rêverie » de George Brown.
Dans les années 1940, le trille était devenu la propriété quasi exclusive des sopranos coloratures spécialisées. Maintenant que tant dautres compétences propres au bel canto ont été reconquises, il est temps que les chanteurs modernes commencent à écouter ces enregistrements anciens et se mettent sérieusement au travail !
01.Pol Plançon: Martha (Flotow) Chanson du Portier Mat. 4346-1 HMV AGSA 45 rec 27/3/07
02.Hermann Jadlowker: Il Barbiere di Siviglia (Rossini)
Ecco ridente Gramophone (253 al 1) 052385 rec 26/9/12
03.Léonce Escalaïs: Robert le Diable (Meyerbeer) Au Tournoi 39414
04.Enrico Caruso: Serse (Handel) Ombra mai fu mat. C=23714-5 Victor 88617
05.Margarethe Siems: Les Huguenots (Meyerbeer) O glucklich Land P-513/P-246
06.Selma Kurz: Der Vogel im Walde (Taubert) Mat.9884v rec 1907
07.Selma Kurz: Un Ballo in Maschera (Verdi) Saper vorreste 2486b G&T4330
08.Adelina Patti: La Sonnambula (Bellini) A non credea Mat rec 683 rec 1906
09.Marcella Sembrich: Die lustige Witwe (Lehar) Dolce amor c 5044-1 Victor 88107
10.Ernestine Schumann-Heink: Lucrezia Borgia (Donizetti) Brindisi Mat. C 2978-1 Victor 85096
11.Dame Clara Butt: Lucrezia Borgia (Donizetti) Brindisi 3487 f rec 16/7/09
12.Dame Clara Butt: Serse (Handel) Ombra mai fu 6655-3
13.Sigrid Onegin: Lucrezia Borgia (Donizetti) Brindisi CVE 50907-2 Victor7191
14.Elisabeth Schumann: Der Obersteiger (Zeller) Sei nicht bös Bb18665-2 rec 17/2/30
15.Joseph Schmidt: LElisir dAmore (Donizetti) Una furtive lagrima Ultraphon/Telefunken E55
16.Rosa Ponselle: Ernani (Verdi) Ernani ! Ernani, involami CVE29062-6 Victor 6875 B
17.David Devries: La Dame Blanche (Bo?eldieu) Rêverie xxP6659-2
18.Rosa Ponselle: Il Trovatore (Verdi) Damor sull ali rosee Mat 49559-4
19.Irene Abendroth: Il Trovatore (Verdi) Di tale amor (0)776x-Di-22 43243
20.Charles Dalmores: Il Trovatore (Verdi) Ah ! Si, ben mio 85123 rec 1907
21.Joseph Schmidt: Il Trovatore (Verdi) Dass nur für mich dein Herz erbebt Ultraphon A 998
22.Sigrid Onegin: Il Trovatore (Verdi) Lodernde Flammen Grammaphon 70621 19253 1
23.Luise Willer: Il Trovatore (Verdi) Lodernde Flammen
24.Elisabeth Schumann: Die Meistersinger von Nürnberg (Wagner)
Quintette (avec Schorr, Melchior, Parr, Williams) G.D. 2002Vic 6882 . dc
25.Tiana Lemnitz: Die Meistersinger Chant du concours C.L.X 646
26.Ludwig Weber: Götterdämmerung (Wagner) Hoi-Ho! C.L.X.636/7
27.Frida Leider: Die Walküre (Wagner) Cri de guerre de Brünnhilde G.DB 1720/1
28.Germaine Lubin: Siegfried (Wagner) Dès lorigine (Ewig war) xxP7025-2
29.Gabrielle Ritter-Ciampi: LAllegro, il Penseroso ed il Moderato (Haendel)
THE LOST ART OF THE TRILL
Opera lovers of a certain age will always be likely to lament Things arent what they used to be and that will always be true. The art of singing is constantly evolving. Now that we have over a century of recording history we are in a position to evaluate how techniques and styles of singing have changed over that period and how certain vocal skills have been lost or regained.
In recent Paris performances of Rossinis Barbiere, the American tenor Lawrence Brownlee demonstrated a flexibility and velocity in the florid passages not heard since the days of Fernando de Lucia and Hermann Jadlowker. But where were the trills?
Nineteenth century composers from Verdi and Wagner to the authors of operetta and light music regarded the trill as an important expressive device and expected all singers from high sopranos to the basso profundo to be able to execute them. Brunnhildes trills in her battle cry and her awakening scene express ecstatic joy and Hagens in act II of Götterdämmerung, malignant glee. In modern performances it is rare that we get more than a token gesture to indicate that the singer is aware that the trill is supposed to be there. Verdis Il Trovatore should be a banquet for the trill fetichist with multiple trills for three of the main protagonists, but who knows today that the bass Ferrando is also required to trill in his opening aria and that Azucenas Stride la vampa! bristles with trills from end to end. For this aria we need to listen to the Munich house mezzo of the interwar period Luise Willer, whose Azucena has all the charisma of a Bavarian Hausfrau but who does what she is told and gives us all of Verdis trills where they are supposed to be.
The sheer volume needed by singers in order to make themselves heard over the heavy orchestration of Wagner and his followers made it difficult for singers to maintain the vocal flexibility required for good trills. But it was with the advent of Verismo at the end of the nineteenth century that the trill came to be regarded as artificial and anachronistic. Puccini (Manon Lescaut) and Strauss (Ariadne auf Naxos) used the trill as local colour to evoke the atmosphere of the 18th Century, quite specifically because of its archaic and artificial connotations. As composers expectations diminished as far as the trill was concerned so the vocal skill withered on the vine.
If we want to hear trills that are perfectly controlled and articulated, neatly launched and ended, and prolonged, swollen and diminished at will, we have to go to recordings from the earliest years of the twentieth century. The basso cantante Pol Plancon and the Heldentenor Hermann Jadlowker offer us the gold standard as far as male trills are concerned. The stentorian Léonce Escalais astonishes with the brilliance and clarity of his trill in an aria from Robert le Diable. Enrico Caruso surprises us with the beauty of his brief trill in Handels Ombra mai fu though the infrequency with which he used trills in his extensive recorded repertoire was also perhaps evidence of the declining prestige of the trill in the Verismo period. Even the greatest singers could apparently have bad trill days. In the otherwise superlative account of Manricos Ah si ben mio Caruso recorded in 1908 he makes a poor attempt at the first trill and perhaps discouraged by the relative failure of his first trill makes no attempt at the second. Evidently Caruso who often made alternative takes, did not think it important enough to have another go at improving the trills. The exactly contemporary version by the French tenor Charles Dalmores is equally mysterious. Dalmores contents himself first time round with a neatly executed turn before going on to present us with perhaps the best trill to be heard on record in this music. Though he possessed a virtuoso trill as we know, Léonce Escalais chose not to sing the trills in the Trovatore aria. It maybe that in the early twentieth century, an increasingly macho conception of the role of Manrico precluded such vocal refinements for some singers.
Germanic sopranos Irene Abendroth, Margarethe Siems and Selma Kurz take us to the most outlandish reaches of virtuosity. The notorious Kurz trill (short trill) is something of a circus act and irritated some of Kurzs fellow performers with its excessive length. On record Selma Kurzs trills should be accompanied by a health warning to listeners not to hold their breath. The aging Patti offers more limpid perfection and Marcella Sembrich more easy spontaneity. The big-voiced contraltos Ernestine Schumann-Heink and Dame Clara Butt are as astonishing as an elephants performing pirouettes in tutus in the riotous Brindisi from Lucrezia Borgia.
In the interwar period there were still plenty of singers, Ponselle, Rethberg, Leider, Lubin, Endrèze and Joseph Schmidt amongst them, who could offer a respectably well-turned trill. Sigrid Onegin and Gabrielle Ritter-Ciampi were exceptional in retaining some of the virtuosic flair of earlier singers. Elisabeth Schumanns trills though not showy have something of Pattis refined poise. Her climactic trill in the Meistersinger Quintet has surely never been equalled since. David Devries upwardly rising series of trills in the Rêverie de George Brown if not quite as sharply articulated as those of earlier singers still provokes amazed delight.
By the 1940s the trill had become the almost exclusive property of specialist coloratura sopranos. Now that so many other Bel Canto skills have been regained it is time that modern singers began to listen to these old recordings and got down to some hard work!
Patrick BADE
7,50 €
HT (TVA à 20%)
L'aiglon
Ref: MR792
Drame musical en Cinq actes
Poème d'Edmond ROSTAND
adapté par Henri CAIN
Musique d'Arthur HONEGGER et Jacques IBERT
Géori BOUÉ : L'Aiglon, Duc de Reichstadt
Xavier DEPRAZ : Séraphin Flambeau
Roger BOURDIN : Le Prince de Metternich
Lucien LOVANO : Le Maréchal Marmont
Joseph PEYRON : Frédéric de Gentz
Michel HAMEL : L'Attaché Français
Gustave WION : Le Chevalier de Prokesch-Osten
Liliane BERTON : Thérèse de Lorget
Agnès DISNEY : Marie-Louise
Yvettes DARRAS : La Comtesse Camerata
Churs de l'ORTF direction René ALIX
Orchestre Radio-Lyrique, direction Pierre DERVAUX
10,83 €
HT (TVA à 20%)
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